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Note moyenne de cet épisode: 16.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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lukahood 
16.0
16.0
Je suppose que Dracula 2020 est la série en 3 épisodes diffusée sur la BBC puis Netflix donc je note ici.
Je n'ai pas vu Sherlock version Mark Gatiss and Steven Moffat, (pour moi Sherlock c'est Elementary) je ne peux donc comparer. Bon Dracula c'est un personnage écumé jusqu'à la moelle, sa carrière a commencé au cinéma il y a 90 ans donc...La question comment faire du neuf avec ce personnage ? Est-ce un Dracula superbe mais très sérieux du style Christopher Lee ou un Dracula qui écoute du Rn'b et qui est abonné à Spotify et Netflix et qui s'habille en Dolce et Gabana ? Bon, ce sera peut être un peu des deux. Donc comme il se doit le film débute tout comme le Dracula de Coppola de 1992 par la visite au château Dracula du pauvre Jonathan Harker qui mène une transaction immobilière pour le Comte Dracula qui va comme on le sait pas super bien se terminer pour lui. L'originalité vient que le récit est fait par Jonathan qui est recueilli dans un couvent et qui subit un entretien mené par une étrange bonne soeur.
Les 2/3 de cet épisode de 1h35 est vraiment remarquable, la visite du château est ultra détaillée durant 1 heure, l'ambiance est vraiment malsaine et ce pauvre Jonathan en bave. Et Dracula dans tout cela. Il est bien sûr impitoyable et sanguinaire, maniant l'humour noir et soyons francs se moquant régulièrement du pauvre Jonathan.Et surtout fait nouveau alors que Christopher Lee était quasi muet, Dracula est ici bavard comme une pie, une vraie concierge balançant les punchlines à tout va. La grande originalité concerne l'identité de la nonne, que perso je n'avais pas vu venir. Le dernier quart du film est plus digne du grand guignol, Dracula se transforme en une sorte de Freddy sanguinaire et la révélation finale gâche un peu les choses, c'est gore et est évidemment mis en scène pour plaire aux jeunes spectateurs en quête de scènes chocs, voire assez drôles dans le fond. Dracula semble avoir des pouvoirs super héroïques bien au-delà du roman, on sombre dans le Marvel type Blade. Malgré tout et grâce aux deux premiers tiers de l'épisode et à un budget confortable qui permet de belles choses je mets une bonne note. Je me demande ce qu'il va se passer pour les deux épisodes suivant même si au vu de la BA on sait qu'il sera dans le présent.Bref Dracula is alive and is back (again and again and again and again...)
Je n'ai pas vu Sherlock version Mark Gatiss and Steven Moffat, (pour moi Sherlock c'est Elementary) je ne peux donc comparer. Bon Dracula c'est un personnage écumé jusqu'à la moelle, sa carrière a commencé au cinéma il y a 90 ans donc...La question comment faire du neuf avec ce personnage ? Est-ce un Dracula superbe mais très sérieux du style Christopher Lee ou un Dracula qui écoute du Rn'b et qui est abonné à Spotify et Netflix et qui s'habille en Dolce et Gabana ? Bon, ce sera peut être un peu des deux. Donc comme il se doit le film débute tout comme le Dracula de Coppola de 1992 par la visite au château Dracula du pauvre Jonathan Harker qui mène une transaction immobilière pour le Comte Dracula qui va comme on le sait pas super bien se terminer pour lui. L'originalité vient que le récit est fait par Jonathan qui est recueilli dans un couvent et qui subit un entretien mené par une étrange bonne soeur.
Les 2/3 de cet épisode de 1h35 est vraiment remarquable, la visite du château est ultra détaillée durant 1 heure, l'ambiance est vraiment malsaine et ce pauvre Jonathan en bave. Et Dracula dans tout cela. Il est bien sûr impitoyable et sanguinaire, maniant l'humour noir et soyons francs se moquant régulièrement du pauvre Jonathan.Et surtout fait nouveau alors que Christopher Lee était quasi muet, Dracula est ici bavard comme une pie, une vraie concierge balançant les punchlines à tout va. La grande originalité concerne l'identité de la nonne, que perso je n'avais pas vu venir. Le dernier quart du film est plus digne du grand guignol, Dracula se transforme en une sorte de Freddy sanguinaire et la révélation finale gâche un peu les choses, c'est gore et est évidemment mis en scène pour plaire aux jeunes spectateurs en quête de scènes chocs, voire assez drôles dans le fond. Dracula semble avoir des pouvoirs super héroïques bien au-delà du roman, on sombre dans le Marvel type Blade. Malgré tout et grâce aux deux premiers tiers de l'épisode et à un budget confortable qui permet de belles choses je mets une bonne note. Je me demande ce qu'il va se passer pour les deux épisodes suivant même si au vu de la BA on sait qu'il sera dans le présent.Bref Dracula is alive and is back (again and again and again and again...)
merci pour ce com' bien détaillé. ça donne envie de l'essayer, au moins, on sais que ce n'est pas du nanard de hall de gare alors pourquoi pas ! :?